La mission infernale se lit comme on regarde un bon vieux film de guerre américain des années 50. Une galerie de personnages digne du panel des consommateurs de pop'corn du New Jersey, des rebondissements énormes qui se devinent une heure avant (au moins !), des clins d'œil de 12 tonnes et des répliques qui rendraient John Wayne, béret vert de jalousie... C'est lourd, très lourd, mais pachyderme que ça.